Comme je l’indiquais récemment, je me délecte de la lecture de « A reculons comme une écrevisse ».
Or, à la page 424 de cet opuscules, je lis
car après tout, on peut dès aujourd’hui éteindre l’ordinateur et la télé et, plutôt que de partir en vol charter pour les Maldives, raconter des histoires autour de la cheminée. Il suffit de le vouloir.
A priori, mon compte est réglé. On arrête tout et je reprends le vol charter retour.
Deux remarques toutefois:
- Il faudra d’abord trouver un vol charter pour les Maldives. Ce qui ne sera pas facile, d’ici
- Qui a encore une cheminée à disposition? Ce brave Umberto semble avoir oublié ce détail.
Question angoissante, maintenant: j’arrête ou je continue quand même ces élucubrations ce challenge visant à prouver que moi aussi, je peux produire du vide ?